L'employée aux écritures

le blog de Martine Sonnet – ISSN : 2267-8735

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"Le problème de la nuit reste entier. Comment la traverser, chaque fois la traverser tout entière ?" Henri Michaux

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Bibliographie

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Une bibliographie de mes publications, mélangeant ce qui se range au rayon littérature et ce qui se range au rayon histoire, aussi à jour et exhaustive que possible, de mes premiers articles en 1980 au 30 octobre 2023.

Ouvrages

Couturière, Paris, Publie.net, 2012 [édition numérique seulement]

L’éducation des filles au temps des Lumières, rééd. en format de poche, Paris, CNRS Ed./Cerf, 2011, 356 p. (Collection Biblis)

Montparnasse monde, Cognac, le Temps qu’il fait, 2011, 139 p.

Atelier 62, rééd. en format de poche, Cognac, le Temps qu’il fait, 2009, 193 p. (Collection Corps neuf)

Atelier 62, Cognac, le Temps qu’il fait, 2008, 235 p.

Chronologie de la France moderne, Paris, PUF, 1996, 128 p. (Collection Que sais-je ? n°3178)

Chronologie de l’histoire de France (co-écrit avec Thérèse Charmasson et Anne-Marie Lelorrain), Paris, PUF, 1994, 876 p. (Collection Premier Cycle)

L’éducation des filles au temps des Lumières, Paris, Cerf, 1987, 354 p.

Articles de revues et chapitres d’ouvrages collectifs

(Nombre de mes articles et contributions à des ouvrages collectifs sont lisibles en ligne : n’hésitez pas à cliquer sur les liens).

« Deux mathématiciennes à la Caisse nationale des sciences : débuts croisés de Marie Charpentier et de Marie-Louise Dubreil-Jacotin», Le monde des mathématiques, sous la direction de Pierre-Michel Menger et Pierre Verschueren, Paris, Editions du Seuil, 2023, p. 313-357 (Les livres du nouveau monde).

« Faire connaître ses travaux : l’accès à la publication de la première génération de boursières et boursiers de la Caisse nationale des sciences »Modalités de la communication scientifique et technique : perspectives historiques / Communicating Science and Technology : Historical Perspectives, Muriel Le Roux ed., Bruxelles, Peter Lang, 2023, p. 157-184 (collection « Histoire des échanges, communications, postes et territoires).

«Comment la MiRe m’a ouvert les yeux », MiRe, 40 ans d’animation et de valorisation de la recherche, Paris, Drees, 2022, p. 52-53.

« L’intercalaire », Raymond Josué Seckel, le bibliothécaire des deux rives, textes réunis par Marie-Noëlle Bourguet-Seckel, Nadine Férey-Pfalzgraf et Jean-Didier Wagneur, Paris, Aux éditions des Cendres, 2021, p. 143-144.

« Les chercheuses de la Caisse nationale des sciences en France dans les années 1930 : l’insertion immédiate des femmes dans un métier neuf »Les femmes et le savoir / Women and Knowledge / Frauen und Wissen, sous la direction de J. Godlewicz-Adamiec, D. Krawczyk et al., Paris, Classiques Garnier, 2020, p. 149-168.

« Bienvenue dans ma vie de bureau »Refléxivité(s), livre liquide issu de l’expérience des Espaces réflexifs, sous la direction de Mélodie Faury et Anne-Marie Paveau, Québec, éd. Science et bien commun, 2019 (édition numérique seulement).

« Conduite à tenir pour vivre une année bergounienne », Pierre Bergounioux : le présent de l’invention, sous la direction de Laurent Demanze, Caen, Passage(s), 2019, p. 175-179.

« Faire de la recherche son métier ? Les “sciences humaines” à la Caisse nationale des sciences (1930-1939) »Revue d’histoire des sciences humaines, 2019, n°34, p. 125-154.

« A Collective Biography of an Emerging Professional Group : Chemists Granted by the Caisse Nationale des Sciences (National Fund for Sciences) in the 1930s  »Perspectives on Chemical Biography in the 21st Century, Ed. by Isabel Malaquias and Peter J.J. Morris, Cambridge Scholars Publishing, 2019, p. 141-150.

« Elargir le cercle », La fabrique des transclasses, sous la direction de Chantal Jaquet et Gérard Bras, Paris, PUF, 2018, p. 119-138.

« Les femmes aussi travaillaient » [le travail féminin dans l’émission d’Eliane Victor], La Faute à Rousseau, juin 2018, p. 12-13.

« Quelques échos des pratiques musicales dans l’éducation des filles au XVIIIe siècle »Pratiques musicales féminines : discours, normes, représentations, sous la direction de Caroline Giron-Panel et Catherine Deutsch, Lyon, Ed. Symétrie, 2016, p. 35-56.

« Entretien avec Martine Sonnet et Thierry Beinstingel », mené par Maryline HeckEcrire le travail au XXIe siècle : quelles implications politiques ?, sous la direction de Aurélie Adler et Maryline Heck, Paris, Presses Sorbonne Nouvelle, 2016, p. 123-133.

« Lui et nous : à propos du Carnet de notes 2011-2015 de Pierre Bergounioux », La Faute à Rousseau,juin 2016, p. 59-60.

« Geneviève Randon de Malboissière », Dictionnaire des femmes des Lumières, sous la direction de Huguette Krief et de Valérie André, Paris, Honoré Champion, 2015, p. 784-785.

« Registre des Forges d’Hennebont », L’arbre qui cache la forêt (des mots), [collectif d'élèves en CAP fleuriste et d'apprentis en BAC pro aménagement paysager et en production florale du lycée horticole de Saint Jean-Brévelay, Hennebont], Hennebont : ALESA, 2013, p. 15-29.

« Atelier 62 : un récit littéraire du travail en friction avec les sciences sociales», Intercambio, 2e série, vol. 5, 2012, p. 204-219.

« L’émoi des demoiselles en voyage. Du voyage dans quelques journaux intimes de jeunes filles du XIXe siècle »Genre & Histoire [En ligne], 9 | Automne 2011, mis en ligne le 09 juin 2012, consulté le 10 septembre 2012.

« Lire par dessus l’épaule de Manon Phlipon : livres et lectures au fil de ses lettres aux demoiselles Cannet (1772-1780) », Histoire et civilisation du livre, 2011, t. 7, p. 349-374.

« Le courrier des lecteurs d’Atelier 62 », La faute à Rousseau, 2011, n° 58, p. 37-39.

« Page arrachée aux mémoires apocryphes de la marquise de Verdelin, juillet 1778 », 100 monuments, 100 écrivains : histoires de France, sous la direction d’Adrien Goetz, Paris, Éd. du Patrimoine, Centre des monuments nationaux, 2009, p. 300.

« Elle me dit », Quai des lettres, n°18, décembre 2008, p.

« Les recherches de la MiRe achevées entre 2001 et 2005 et leurs débouchés éditoriaux : quelques éléments de repérage », La lettre de la MiRe, septembre 2007, n°14, p. 16-18.

« Territoires d’historiennes à la fin du XXe siècle : quelques éléments de mesure », Histoires d’historiennes, sous la direction de Nicole Pellegrin, Saint-Etienne, Presses universitaires de Saint-Etienne, 2006, p. 125-142.

« Genre et partage du travail scientifique aux origines du CNRS (France, années 1930) », Documents de travail du MAGE, 2006, n° 9, p. 225-235.

« Les auteurs dans la Revue française du travail, puis Revue française des affaires sociales, de 1946 à 2004 : quels profils ? »Revue française des affaires sociales, 2006, n°4, p. 63-83.

« L’éducation des filles à l’époque moderne »Historiens et géographes,2006, n°393, p. 255-268.

« Echo du séminaire”Regards pluriels sur le monde du travail », 29 septembre-1er octobre 2005, Aix-en-Provence », La lettre de la MiRe, janvier 2006, n°8, p. 15-16.

« Dynamiques professionnelles dans le champ de la santé : présentation du dossier  »Revue française des affaires sociales, 2005, n°1, p. 7-15.

« Echo du colloque  sur “Les dynamiques professionnelles dans le champ de la santé”, 23-24 mai 2005 », La lettre de la MiRe, octobre 2005, n°7, p. 15-16.

« Combien de femmes au CNRS depuis 1939 ? »,  Les femmes dans l’histoire du CNRS.Paris, CNRS, 2004, p. 39-67.

« Geneviève Randon de Malboissière et ses livres : lectures et sociabilité culturelle féminines dans le Paris des Lumières »Lectrices d’Ancien Régime, sous la direction d’Isabelle Brouard-Arends. Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2003, p. 131-142.

« Les femmes auteurs dans la Bibliographie annuelle de l’histoire de France »,  Mnémosyne. Association pour le développement de l’histoire des femmes et du genre. Bulletin d’information, 2002, n°1, p. 49-59.

« Le savoir d’une demoiselle de qualité : Geneviève Randon de Malboissière (1746-1766) »,  L’educazione dell’uomo e della donna nella cultura illuministica, a cura di Lionello Sozzi. Memorie dell’Academia delle scienze di Torino, Classe di scienze morali, storiche e filologiche, 2000, ser. V, vol. 24, fasc. 3, p. 167-185.

« Les tendances historiographiques d’après la Bibliographie annuelle de l’Histoire de France (1975-1995) »Dix-huitième siècle, 1998, n°30, p. 155-164.

« Le « privilège » éducatif des Parisiennes à la fin de l’Ancien régime », L’éducation des femmes en Europe et en Amérique du Nord de la Renaissance à 1848 : réalités et représentations, sous la direction de Guyonne Leduc. Paris, L’Harmattan, 1997, p. 317-328.

« Que faut-il apprendre aux filles ? idéaux pédagogiques et culture féminine à la fin du XVIIIe siècle »Papers on French Seventeenth Century Literature,1995, vol. 22, n°43, p. 369-378.

« L ‘éducation des filles avant la Révolution », Notre histoire, n°121, avril 1995, p. 31-34.

« Une fille à éduquer »,  Histoire des femmes en Occident,sous la direction de Georges Duby et Michelle Perrot. T.3 : XVIe-XVIIIe siècles, sous la direction d’Arlette Farge et Natalie Zemon Davis. Paris, Plon, 1991, p. 111-139. Nombreuses traductions. Rééd. 2002 (Collection Tempus)

« Le travail des mères : approche historique »,  La famille : l’état des savoirs, sous la direction de François de Singly. Paris, La Découverte, 1991, p. 145-155. Rééd. 1997.

« Les leçons paternelles »Histoire des pères et de la paternité, sous la direction de Jean Delumeau et Daniel Roche. Paris, Larousse, 1990, p. 259-278. Rééd. Paris, Larousse, 2000, p. 269-288 (Collection in extenso).

« L’éducation des filles à Paris au XVIIIe siècle : finalités et enjeux »Problèmes d’histoire de l’éducation. Rome, Ecole française de Rome, 1988, p. 53-78.

« Ce qu’on ne dit pas aux filles… »,  Notre histoire, n° hors série, 1988, p. 55-58.

« Education et Première Communion au XVIIIe siècle », La Première Communion : quatre siècles d’histoire, sous la direction de Jean Delumeau. Paris, Desclée de Brouwer, 1987, p. 115-131.

« Apprendre à lire pour communier », Notre histoire, n°34, mai 1987, p. 31-34.

« Orientation bibliographique », L’histoire de l’enseignement, XIXe-XXe siècles : guide du chercheur, sous la direction de Thérèse Charmasson, Paris, Publ. de la Sorbonne, INRP, 1986, p. 9-51.

« La lecture dans les petites écoles »Dix-huitième siècle, 1986, n°18, p. 33-43.

« Cinq années de Bibliographie d’histoire de l’éducation française, 1976-1980 : repères pour un bilan historiographique »Histoire de l’éducation, 1985, n°26, p. 17-37.

« L’historiographie de l’éducation dans le Nord, 1976-1980 », Revue du Nord, t. 67, n°266, 1985, p. 807-809.

« Comment devient-on une « épouse-secrétaire » à Paris au XVIIIe siècle ? » Pénélope, pour l’histoire des femmes, 1984, n°10, p. 75-77.

« Instruire les filles du peuple : les institutions charitables d’enseignement féminin à Paris au XVIIIe siècle », Informationen zur Erziehungs- und bildungshistorishen Forschung, 1984, t. 25, vol. 3, p. 75-77.

« Petites filles modèles du XVIIIe siècle », Historia, n°455, novembre 1984, p. 25-32.

« L’éducation des filles à Paris au XVIIIe siècle », Pénélope, pour l’histoire des femmes, 1980, n°2, p. 11-14.

« Les almanachs politiques parus pendant la Révolution française »Bulletin des bibliothèques de France, 1980, t. 25, n° 1, p. 5-10

Collaborations et participations diverses à l’édition

Siméon-Prosper Hardy, Mes loisirs, ou Journal d’événements tels qu’ils parviennent à ma connoissance (1753-1789), volumes II-IX (1771-1787), publié sous la direction de Pascal Bastien, Sabine Juratic et Daniel Roche, Paris, Hermann, 2009-2023, 9 vol.

Pierre Strobel : penser les politiques sociales. Contre les inégalités : le principe de solidarité, co-coordonné avec Sandrine Dauphin et Lise Mingasson, La Tour d’Aigues, Ed. de l’Aube, 2008, 254 p. (collection Monde en cours)

Bibliographie annuelle de l’histoire de France,années 1996 à 2001, Paris, CNRS Editions, 1997 à 2002, 6 vol.

Les Colléges français ; 16°-18° siècles / Marie-Madeleine Compère, Dominique Julia. 2, Répertoire France du Nord et de l’Ouest  / avec la collab. de Philippe Marchand, Alain Oger, Philippe Pauchet, Martine Sonnet, Paris, Ed. du C.N.R.S., 1988, 710 p.

« Bibliographie d’histoire de l’éducation française », années 1979 à 1986, dans la revue Histoire de l’éducation, n°15-16, août 1982 à 43-44, septembre 1989.

Revues surréalistes françaises autour d’André Breton : 1948-1972 / par Marguerite Bonnet et Jacqueline Chénieux-Gendron ; avec la collab. de José Pierre, José Vovelle, Philippe Bernier et Martine Sonnet, Millwood, N.Y., London, Nendeln, Liechtenstein, Kraus international, 1982, 294 p.

Inédits divers en ligne

« Je est Hardy : usages de la première personne du singulier dans “Mes loisirs ou Journal d’événemens tels qu’ils parviennent à ma connoissance” de Siméon Prosper Hardy », document de travail inédit mis en ligne sur HAL, décembre 2021, 15 p.

Repasseuses, revue Tiers Livre, 2013.

Notes de voyages avec livre 1. des départs2. des villes3. des hôtels4. des rencontres, Paris, Mélico, 2010 (les deux dernières parties – 5. des retours; 6. chambre 62 – ne sont plus en ligne)

Année compte double : petit journal du 1er décembre 2007 au 30 novembre 2008 augmenté de son index alphabétique, catégorique et subjectif, s.l., s.n., s.d., 92 p.

Voir aussi mes textes parus sur le site remue.net

et, ici et là, des textes sur des blogs amis comme Chasseur de tête accueilli par Pierre Cohen-HadriaPetite typologie illustrée des butoirs montparnassiens chez Urbain, trop urbainLa valise à New York, chez Cécile Portier ; New York, jeu de miroir, chez Maryse Hache.

Comptes rendus d’ouvrages notamment pour les revues

Recherche & Formation ; Annales, histoire, sciences socialesTravail, genre et sociétésRevue française des affaires socialesLe mouvement socialHistoire de l’éducationLa quinzaine littéraireBulletin des bibliothèques de France

et (ajout du 14 novembre 2022) pour le site fabula.

NB : rubrique à compléter mais en attendant les portails de revues en ligne Cairn et Persée permettent d’accéder à certains d’entre eux

nov 13, 2022

Atelier 62 (les échos)

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Paru en janvier 2008 aux éditions Le temps qu’il fait, Atelier 62 a bénéficié de nombreux échos

Dans la presse écrite :

Michel Crépu dans le Nouvel Obs, 8 février 2008

Nathalie Crom dans Télérama

Christine Rousseau dans Le Monde

Philippe Didion dans La Liberté de l’Est

Daniel Morvan dans Ouest France

Daniel Martin dans La Montagne du dimanche 6 avril 2008

Sylvain Pattieu dans Rouge hebdo

Agnès Laurent dans L’usine nouvelle

Yonnel Liégeois dans La nouvelle vie ouvrière (pdf téléchargeable p.1p.2p.3)

Bernard Chartrain dans La lettre de Val de Seine Vert

Alain Nicolas dans L’Humanité, jeudi 26 juin 2008

Eric Aeschimann dans Libé

Gérard Mauger dans Le Monde diplomatique (septembre 2008)

Gérard Mauger dans Savoir Agir (Ed. du Croquant), n°6, décembre 2008

Véronique Montémont dans La Faute à Rousseau, n°50, février 2009, merci à elle et à Philippe Lejeune pour leur accord pour la mise en ligne

Evelyne Bechtold-Rognon dans Nouveaux regards

Michelle Zancarini-Fournel dans Clio, histoire, femmes et société

Patrick Fridenson dans Le mouvement social

Thierry Guichard dans Le matricule des anges, mars 2010

A la radio :

France Inter Je vous réveille Patricia Martin, le mercredi 20 février 2008

France Culture A plus d’un titre Tewfik Hakem, le mercredi 27 février 2008

RCJ Journal de la mi-journée Josyane Savigneau, le jeudi 28 février 2008

France Culture La fabrique de l’histoire Emmanuel Laurentin, le vendredi 29 février 2008

France Culture Jeux d’épreuves Joseph Macé-Scaron, le samedi 1er mars 2008

France Culture Du jour au lendemain Alain Veinstein, le vendredi 28 mars 2008

France Culture Les mardis littéraires Pascale Casanova, le mardi 8 avril 2008

la dédicace pour la web radio du livre Radio France enregistrée au salon du livre 2008

France Culture, La fabrique de l’histoire d’Emmanuel Laurentin, le jeudi 26 mars 2009

un entretien réalisé à la médiathèque de Sisteron, pour Fréquence Mistral Sisteron, le 26 février 2010

A la télévision :

FR 3 Un livre un jour Olivier Barrotle mercredi 5 mars 2008

Sur internet :

Nathalie Crom en parle sur Télérama.fr podcast

Yun Sun Limet sur remue.net

Myriam Gallot sur Sitartmag.com

Serge Cannasse sur carnetsdesanté.fr

Florence Lorrain sur Atout-livre

Michel Volkovitch, dans ses pages d’écriture

Thierry Beinstingel, dans ses notes de lecture

Le blog Mes engouements

Colette Le Lay sur le blog livres de La Recherche

Le blog Eireann

Le blog de Xavier Zunigo

Le blog La vie de biais

Le site de La voix au chapitre

Le blog hublots de Philippe Annocque

Une note de lecture, en Dissidences

Didier Bastide sur Liens socio

Benoît Melançon sur L’oreille tendue

Christine Jeanney sur Pages à pages

Célia M. Grzegorska sur Hendiadyn

Jérôme Bau dans Le monde du livre

nov 26, 2019

Je me souviens de P.O.L.

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Je me souviens qu’en avril 1978 j’avais acheté Je me souviens de Georges Perec – sous titre : Les choses communes I – dans la “collection dirigée par Paul Otchakovsky-Laurens” d’Hachette littérature. Achevé d’imprimé en date du 2 janvier 1978 : 40 ans tout rond. Triplement (au moins) fascinée par le principe du livre, son index et les pages blanches offertes en fin de volume à nos propres Je me souviens. En septembre 1978 (je datais à l’époque mes achats en haut de page de garde) j’achetais La vie mode d’emploi – sous titre : Romans – du même auteur dans la même collection aux bons soins du même directeur. C’est comme cela que le nom de Paul Otchakovsky-Laurens m’est devenu familier, avant qu’il ne s’abrège en P.O.L. sur la couverture même des livres qu’il éditait et qui n’en finiraient plus de faire mes bonheurs de lecture.

En ces premiers jours de janvier alors que, comme tant de lectrices et lecteurs fidèles à ses trois initiales, sa disparition m’attriste, je me souviens aussi qu’en 2007 Paul Otchakovsky-Laurens faisait partie des dix-neuf éditeurs à qui j’envoyais par la poste le manuscrit de mon Atelier 62. Le livre accepté à l’été 2007 par Le temps qu’il fait qui le publierait en janvier 2008 – juste 10 ans – je récupérais les quelques exemplaires du manuscrit demeurés en lecture. J’étais ainsi passée chez P.O.L. où la personne très aimable de l’accueil qui était allée le chercher dans un bureau (son bureau ?) était revenue me le tendre en me disant : “c’est dommage, il avait passé la première sélection, il était en relecture”. Mais je manquais alors de patience pour ce texte trop longtemps étouffé.

Et je constate aujourd’hui, repensant à tout cela, que des dix-neuf éditeurs qui avaient reçu le manuscrit, Paul Otchakovsky-Laurens est le cinquième que nous perdons puisque je l’avais aussi adressé à J.B.Pontalis, à Maurice Nadeau, à Jean-Marc Roberts et à Gérard Bobillier qui l’avaient refusé.

Mais pas P.O.L. ou, du moins, pas d’emblée : qui saura jamais ?

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jan 6, 2018

Maisonnées 1911 : au Pont Perrin

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De l’enfance et de la jeunesse de mon père je connaissais les noms de lieux “La Broutière” et “Les Aunaies” mais je n’y associais pas “Le Pont Perrin”, pour moi simple toponyme sur la carte d’Etat Major punaisée sur un mur de cuisine dans notre maison (d’autrefois) dans cette campagne. C’est pourtant au Pont Perrin que les agents recenseurs de 1911 enregistrent les parents et le frère aîné d’Amand Sonnet, François. Mais pas lui : Amand est né le 13 avril 1911, ils ont dû passer en début d’année, avant cette date. Le recensement de 1911 est numérisé sur le site des Archives de l’Orne, avec ceux établis de 5 ans en 5 ans depuis 1836.

La famille est incomplète, il y manque Amand, de même que ses cadets, un frère, Pierre, et deux soeurs Louise et Thérèse. La liste établie section F de la commune de Céaucé, au Pont Perrin, maison 514, ménage 527, comprend seulement mes grands parents, François Sonnet né en 1878 à Céaucé, cultivateur, son épouse Marie Vannier née en 1886 à Céaucé, profession “néant” – elle a bien dû trimer sur la ferme elle aussi mais son travail compte pour du beurre -, leur fils aîné François (comme le père) né en 1910 à Céaucé, que je n’ai pas connu, et leur jeune domestique Paul Dumas né en 1898 à Paris.

Paul Dumas, mon père en gardait le souvenir d’un garçon plus âgé que la fratrie, mais pas tant que cela, échappant à l’obligation dominicale pesant sur les enfants de la maison de se rendre à l’église pour assister non seulement à la messe mais encore aux Vêpres. Un jeune homme au sort enviable, au moins le dimanche après-midi. J’évoque ce souvenir paternel dans Atelier 62. L’état-civil parisien m’apprend que Paul Dumas a vu le jour quasiment en face de l’immeuble d’où j’écris ce billet, puisqu’il est né à la maternité de Port-Royal, le 28 février 1898. L’acte est enregistré à la mairie du XIVe arrondissement (comme ceux de nos fils) le 2 mars 1898. Fils de Marie Dumas, 25 ans, femme de chambre rue Montorgueil, 84, et de père non dénommé : un fils naturel placé à la campagne.

Comment le jeune Paul arrive de la rue Montorgueil au Pont Perrin – y était-il déjà en nourrice ? -, je l’ignore. Les mentions marginales de l’acte de naissance précisent qu’il s’est marié à Céaucé le 5 mai 1928 avec Marie Eugénie Françoise Fournier et qu’il est décédé à Domfront le 16 janvier 1987, soit quelques mois après mon père (dans le même hôpital ?). Mais il me semble que les deux hommes s’étaient perdus de vue depuis longtemps.

Au village du Pont Perrin en 1911, après avoir visité les Sonnet, les agents recenseurs officient encore dans deux maisonnées. Maison 515, ménage 528, ils trouvent la veuve Troussier, née en 1839 à Céaucé, sans profession, sa fille Marie née en 1863 à Céaucé, sans profession non plus, et sa petite-fille Prudence née à Loré en 1906. C’est un ménage exclusivement féminin et je me demande de quoi ces femmes vivaient. Maison 516, ménage 529, là que des hommes : Pierre Lory né en 1861 à Domfront, cultivateur, et ses deux domestiques, Emile Martel né en 1881 à Céaucé, Henri Lefaucheux né en 1895 à Céaucé.

J’espère que tout ce monde là s’entendait bien et s’entraidait quand c’était nécessaire ; ils étaient un peu loin de tout.

Ce billet prolonge mon Exercice d’égo-anthroponymie et je crée la catégorie “généalogiques” pour regrouper ce genre de billets. Et je le publie ce 13 avril jour anniversaire de la naissance d’Amand Sonnet, comme un clin d’oeil.

Si vous avez une très bonne vue vous repérerez sur cette capture de Google map le pont dit Perrin au dessus du ruisseau de la Havardière et le groupe de maisons constituant aujourd’hui le hameau. C’est juste à la limite de l’Orne et de la Mayenne.

Filed under généalogiques
avr 13, 2017

Arts croisés de l’encadrement et du trompe l’oeil

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Dans cette chambre d’hôtel où, de mercredi à jeudi cette semaine, je passais la nuit, occasion de découvrir ainsi la belle ville ancienne de Nîmes, une insolite fenêtre donnant sur un couloir et faisant face à un miroir s’ornait d’une peinture en trompe l’oeil côté chambre, se dissimulait derrière un autre miroir côté couloir. Je n’ai pas trop bien compris le pourquoi de tous ces agencements/dissimulations/reflets mais m’en suis joué (ou jouée ? je ne sais jamais pour ce genre d’accord et un peu la flemme d’ouvrir Grévisse ce soir). A Nîmes, j’étais invitée à l’initiative d’Annalisa Bertoni par Arnaud Vasseux à parler de l’écriture d’Atelier 62 et de ses matériaux dans le séminaire “Parlons travail” de l’Ecole supérieure des Beaux-Arts dans laquelle tous les deux enseignent. Merci à eux pour cette invitation : heureuses rencontres et riches échanges d’où il ressort qu’entre écriture comme je l’ai pratiquée, un peu de bric et de broc, dans ce livre et visual arts auxquels se destinent les étudiants qui étaient là, les ponts ne manquent pas. Et ce n’est pas du trompe l’oeil.

Filed under par monts et par vaux
jan 31, 2016

Cinquante ans de petite bibliothèque ronde

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J’ai passé un beau samedi, hier, à fêter les 50 ans de la Petite bibliothèque ronde de Clamart. J’étais invitée à rejoindre les enfants et leurs familles qui la fréquentent aujourd’hui, ainsi que l’équipe qui l’anime aux côtés de Marion Moulin depuis 2014, parce qu’au premier jour de son ouverture, en octobre 1965, j’étais déjà là, impatiente d’en pousser la porte, du haut de mes presque 10 ans.

Belle et émouvante occasion de revenir en ce lieu qui a tellement compté comme je l’évoque dans le petit chapitre “Bibliothèque” d’Atelier 62. Grand plaisir à retrouver là, 50 ans après, les premières bibliothécaires qui nous y ont accueillis, nous ont ouvert un monde un peu plus vaste que celui de notre cité de la Plaine, nous ont fait confiance pour faire vivre avec elles un lieu dont l’extrême qualité de la conception, notamment architecturale, reste intacte. Etaient présentes hier Geneviève, qui dirigeait la bibliothèque alors de “La joie par les livres ” – du nom de l’association réunie autour du projet – fou – de la mécène Anne Gruner-Schlumberger, ainsi que Lise et Christine qui l’entouraient en un rayonnant trio.

Présents aussi d’autres lectrices et lecteurs de la première génération, en particulier Dominique, Patrick et Michel avec lesquels j’ai partagé, entre ces murs arrondis, tant de samedis après-midis occupés de clubs de lecture ou de théâtre ou encore de la mise au point du prochain journal. Retrouvailles avec le sentiment que nous nous sommes quittés la veille… Et tous les quatre de constater que ce que nous faisions aujourd’hui n’était pas sans lien avec les découvertes faites ici.

L’anniversaire était aussi l’occasion de découvrir le film réalisé par le jeune cinéaste Kaspar Vogler, La bibliothèque est à nous, qui a partagé le quotidien de la Petite bibliothèque ronde au printemps 2015, mais est aussi revenu, archives et entretiens aidant, sur son demi-siècle d’existence. Un beau film grâce auquel nous “les anciens” avons découvert combien aujourd’hui la bibliothèque était largement ouverte, au-delà des enfants, aux familles de la cité, et comment ses livres avaient été rejoints, dans une complémentarité intelligemment pensée et accompagnée, par les outils numériques indispensables à la lecture du monde d’aujourd’hui. Ce qui n’empêche pas de faire aussi pousser des radis dans le jardin : c’est cela l’esprit du lieu.

Un film engagé, parce que, malgré son impérieuse nécessité pour les habitants du quartier, l’existence de la bibliothèque a connu des jours sombres – notamment une fermeture en 2006 – et en connaît encore du fait, notamment, de lourds travaux rendus nécessaires par l’âge du bâtiment dans un contexte peu propice à la pérennisation des idéaux sociaux et humanistes des années 1960. Souhaitons au film la meilleure diffusion possible et qu’il devienne à son tour archive incontournable quand on célèbrera le centenaire de la Petite bibliothèque ronde.

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oct 4, 2015

Cinéma dans la grange (ou presque)

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Evidemment je pense à Henri Thomas et au titre de l’un de ses romans : Le cinéma dans la grange. Parce qu’on y est presque. Mais les films sont rangés dans leurs boîtes rondes, retournés à leurs distributeurs depuis longtemps. Je crois même qu’une fois de plus la salle est à vendre.

J’ai oublié quels films j’ai vus dans cette salle, parce qu’il y en a eu, pendant toutes ces années, quand les vacances scolaires, l’été, n’avaient d’autres lieux que cette campagne. Vacances trop longues, années trop nombreuses, je l’ai déjà écrit. Mais ce qui reste intact de ces séances, c’est l’euphorie du retour à pied, dans la nuit, marchant au milieu de la grand-route, nous signalant par une lampe de poche (boîtier métal rectangulaire, pile plate) agitée à bout de bras face aux deux ronds jaunes des phares quand d’aventure il se trouve quelque Aronde ou Dauphine pour circuler encore. Nous tous sautant alors sur la berme, agripés les uns aux autres qu’on ne bascule pas dans le fossé. Sitôt l’auto passée reprenant possession du milieu de la route et les deux kilomètres et demi, la côte de Bel-Air même, avalés comme cela dans les rires, en bande. Aller entre soi au cinéma ne viendrait pas à l’idée : la sortie serait moins gaie, la marche obligée du retour éreintante, alors on entraîne les plus proches voisins (jamais vraiment proches dans ce bocage) qu’on sèmera en chemin en s’en retournant. Sous les étoiles.

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juil 22, 2014

Dire merci à Alain Veinstein

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Nouvel additif et rebondissement : le “jour sans lendemain” censuré le 4 juillet dernier s’écoute désormais sur le site de l’émission. A propos de cette dernière, aussi un billet à lire sur le site de Télérama.

Additif au billet initial : encore plus triste après la censure ayant frappé vendredi 4 juillet la diffusion de la dernière émission d’Alain Veinstein, les lendemains chantent décidément de moins en moins. Lire notamment sur Télérama, Le Monde, Mediapart.

Au fil d’échanges passés par twitter ces derniers jours, j’ai appris qu’Alain Veinstein venait d’enregistrer sa dernière émission Du jour au lendemain pour France Culture et cru comprendre que cet arrêt ne relevait pas de son choix. Alors partager ici l’amertume et exprimer à la fois tristesse et gratitude.

Tristesse de perdre ce repère dans la suite des jours, cette émission très régulièrement suivie (ou écoutée après coup grâce aux précieux podcasts de France Culture) porteuse de découvertes d’auteurs inconnus comme de rendez-vous réguliers avec certains dont on guette le passage chez Veinstein après chaque nouvelle parution, assurés qu’on les y entendra.

Dans tous les cas, livres que je me promets de lire dès le lendemain ou seulement de feuilleter sur une table de librairie un de ces jours, rester tout ouïe, même à pas d’heure, parce que l’on parle d’écriture et que l’auteur invité fait part de ses doutes, plus souvent que de ses certitudes, réfléchit à ses façons de faire. Parole lancée par la lecture d’une phrase ou deux choisies par l’intervieweur, voix raccord sur l’air jazzy du générique : exergue prometteuse. Ecoutant Du jour au lendemain ce que je cherchais à savoir c’était : comment font les autres ? Même si j’y récoltais autant de silences que de réponses.

Gratitude donc de lectrice/auditrice mais aussi gratitude d’auteure reçue les deux fois où je me suis risquée à publier un ouvrage dont il m’importait qu’il connaisse un destin autre que celui de mes écrits “professionnels“. Nous nous sommes entretenus d’Atelier 62 en mars 2008 et de Montparnasse monde en mai 2011. Et j’ai été d’autant plus sensible à l’invitation qui m’était faite à venir parler de Montparnasse monde que le service de presse de ce livre n’a suscité aucun autre écho.

Immense merci pour tout cela à Alain Veinstein – et à Didier Pinaud pour l’escorte amicale et attentionnée entre ascenseur et studio les deux fois car il faut dire qu’arrivés là on n’en mène pas large…

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juin 28, 2014

Le petit Bescherelle est demandé à l’accueil (en allant voir “Entrée du personnel”)

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Mon sang d’employée aux écritures n’a fait qu’un tour hier soir, passant devant la librairie Gibert Joseph, au vu de l’affichette prévenante placardée sur chacune de ses portes. Si vous souhaitez vous défaire d’un Bescherelle, d’un Grévisse, voire d’un Bled CP-CE1-CE2, courez leur vendre, ils en ont grand besoin.

Je descendais le boulevard Saint-Michel pour aller à l’Espace du même nom (cinéma où l’on ne peut payer sa place ni par carte bancaire ni par chèque – préparez votre monnaie) voir Entrée du personnel, film fort et terrifiant à bien des égards de Manuela Frésil. Il y est question du travail, de ses cadences et de ses effets dévastateurs sur la santé notamment musculo-squelettique des ouvriers et ouvrières dans les abattoirs de l’Ouest. (Et à propos de cadences et d’introduction de nouvelles machines qui sous couvert de progrès ne font que les accélérer, je croyais parfois entendre les gars du 62 évoquer leurs presses…)

Film à voir, bien sûr, dont je regrette juste qu’il soit dénué de contextualisation environnementalo-socio-économique – brèves allusions aux lois de la grande distribution et aux traites des maisons à payer mises à part. Mais comment traiter ce sujet sans en amont le relier à d’autres ravages à l’oeuvre sur la même terre, ceux de l’élevage intensif ? J’ai repensé à La vie moderne de Depardon et au beau Temps des grâces de Dominique Marchais, il me semble qu’avec celui de Manuela Frésil, ces films se complètent d’une certaine façon.

Entrée du personnel est d’abord un film sur le travail mais il dit aussi des choses sur notre rapport à la nature. Parce que si les bêtes entrent à l’abattoir sur leurs quatre ou deux pattes elles en sortent réduites en barquettes. Les images crues de l’industrialisation de leur mise à mort au service de nos assiettes suscitent nombre de questions, dont la moins dérangeante n’est pas : finalement, de ces bêtes, du personnel de l’abattoir et du consommateur, qui nourrit qui et à quel prix ?

mai 8, 2013

Mot d’excuses avec digressions

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L’employée aux écritures prie son lectorat fidèle de bien vouloir excuser son inconstance ces temps-ci : c’est qu’elle se prépare à déménager et que, pour tout vous dire, ce déménagement implique une longue et soigneuse préparation compte tenu de la réduction, de l’ordre du tiers, du nombre de mètres carrés qui seront à sa disposition, à loyer égal, passant de la ville de banlieue dans laquelle elle a toujours vécu depuis l’âge de six mois (à quatre adresses différentes, tout de même, j’ai déjà déménagé dans ma vie) à la ville capitale. Le tri sélectif avant mise en cartons prend donc un certain temps.

Le 29 avril prochain, les jeux seront faits, je serai Parisienne (mais trop tard pour ressembler à celles de Kiraz qui me faisaient rêver sur le papier glacé des Jours de France que notre mère rapportait, après moult consultations, du cabinet médical dans lequel elle faisait le ménage – cf  Atelier 62, chapitre 7 – enfin si vous l’avez parce que pour la Sodis il manque toujours : c’est un vrai faux indisponible).

Dans tout ce que nous manipulons ces jours-ci, partageons, réorientons, transmettons suivant les cas, il y a des boîtes de Légo, beaucoup de boîtes de Légo, vraiment beaucoup de boîtes de Légo, de toutes les tailles et de toutes les gammes et chacune avec sa notice. Il fut un temps, dans un appartement antérieur, ou une surface non négligeable de notre salle de séjour était en permanence jonchée de ces petites briques, exactement comme dans cette scène si juste du Caïman de Nanni Moretti où parents et enfants cherchent ensemble la pièce qui manque. Car il manquera toujours une pièce.

Illustration : Mur de briques de la boutique Légo de Manhattan, NYC, un soir d’octobre 2012.

Filed under la vie tout venant
avr 13, 2013

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