
Toujours à traîner dans ma boîte à questions envoyées par les moteurs de recherche ces interrogations provenant d’internautes en quête d’informations sur les algecos. Les aiguilleurs de requêtes me les adressent sous prétexte que, pour leur avoir un jour consacré un billet sur ce blog, je devrais tout savoir sur ces éléments préfabriqués modulables de plus en plus présents dans le paysage urbain et appelés à remplir des fonctions de plus en plus diversifiées. J’ai assez tendance à penser que si des internautes qui ne sont pas tous chefs de chantiers, loin de là, s’y intéressent c’est aussi, dans certains cas, en proie à de sérieuses difficultés à se loger.
Si je ne sais répondre à toutes leurs questions je peux tenter de les sérier. Je vois ainsi trois grandes catégories d’interrogations se faire jour : les structurelles, les fonctionnelles et les opérationnelles.
Questions structurelles comme : éléments démontables d’un algeco ; comment sont fabriqués les algecos ? ; algeco prix ; algeco dimensions – soit comment définir l’algeco ?
Questions fonctionnelles : algeco de plage ; algeco pour magasin ; algeco cuisine d’été ; algeco open space ; algeco art – soit différentes contributions à un inventaire des usages possibles de l’algeco
Questions opérationnelles : idée pour retaper un vieil algeco ? ; qui a amenagé un algeco ? ; habiter algeco ; logement algeco ; déplacement algeco ; algeco idée – soit, une fois qu’on en possède un, comment l’installer, l’améliorer et l’aménager.
La question qui ne m’est pas posée mais à laquelle je pourrais répondre avec certitude et en image serait celle de la capacité de l’algeco, moyennant un petit coup de pouce, à léviter.

NB : ces algecos-là s’installent sur le chantier ouvert à l’emplacement du Terminus, débit de boisson dont j’avais évoqué ici même la démolition.

Voilà que ce boulanger-pâtissier de la
Je devrais néanmoins peut-être tenter un deal avec le boulanger-pâtissier de la rue Delambre : en échange de la publicité faite à son gâteau sur mon blog, une petite place en vitrine, à côté dudit gâteau, pour un excellent livre sur le quartier. Et lui suggérer l’instauration d’une carte de fidélité : pour cinq Montparnasse à croquer, un 














Donc, descendre du 
Le billet d’entrée, on l’a, combiné à celui du train aller et retour depuis Grand Central, le tout pour 31,50$, une affaire. Le musée s’impose d’abord par son jardin, jardin sans limites matérialisées et qui descend jusqu’aux rails, gagne le paysage ferroviaire.






