Evidemment le titre du billet Continuité des parcs est un hommage à Julio Cortazar et une invitation à ouvrir ou réouvrir encore une fois son recueil Les armes secrètes aux pages 85 à 87 de l’édition folio achevée d’imprimé le 3 septembre 1973 à Saint-Amand (Cher) que j’ai depuis ce temps-là sous la main, trois pages qui sont celles de cette prodigieuse courte nouvelle, histoire dans laquelle tel est pris qui croyait la lire.
J’emprunte donc le titre de sa nouvelle à l’écrivain argentin pour donner une suite à mon récent billet Dérouler le tapis vert, qui s’achevait sur un suspense insoutenable : les jardiniers auraient-ils couvert toute la surface à verdir une fois leur stock de rouleaux d’herbes et de printemps mis à plat ?
Je suis aujourd’hui en mesure de répondre à la question et c’est non.
Mais le travail a été fait très proprement, les bords sont coupés net, un passage de tondeuse a uniformisé le tout et, avec un peu de patience, le raccord se fera le plus naturellement du monde puisque sur la terre non recouverte, de l’herbe commence à pousser. Bientôt de ces petits soucis de sous-estimation de calcul de surface et de raccords, plus rien ne paraîtra.
