Il y aurait ici la photo du pot de pensées sur le rebord de la fenêtre de la cuisine (dont j’ai déjà parlé ailleurs). J’en avais pris plusieurs ces derniers jours et le ciel à giboulées, changeant, se prêtait à des variations de lumière intéressantes sur mes trois fleurs avec évier au premier plan et ustensiles de cuisine séchant, variables eux aussi au fil de la journée. Mais pas moyen. Dossier impossible à créer ou erreur lors de la tentative réessayer plus tard. Et le dépanneur maison qui n’est pas là et rentrera tard. Ce ne sera donc pas pour aujourd’hui ces nouvelles de mes trois pensées, mais qu’on me croie sur parole : elles prospèrent. Avec le petit pied à terre sur la toile que je viens de louer, je me sens comme une qui aurait quatre murs neufs à aménager – et c’est bien la première fois que j’emménage dans du neuf. Qu’on m’excuse si je ne sais pas encore très bien où ni comment accrocher tous mes cadres.
