L'employée aux écritures

le blog de Martine Sonnet – ISSN : 2267-8735

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"Le problème de la nuit reste entier. Comment la traverser, chaque fois la traverser tout entière ?" Henri Michaux

Bestiaire d’ici, du plus gros au plus petit

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Posted by ms on 26 août 2008 at 19:07

L’employée aux écritures, qui a un peu envoyé valser l’écritoire ces derniers jours, tient juste à dire un grand merci à Lucas de la part des chamois, des moutons, du circaète qui vient tous les soirs tourner au dessus de la maison en quête de vipères, de la grenouille et du papillon. J’assume l’approximation des autres clichés.

Filed under la vie tout venant
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2 Comments

  • On 27 août 2008 at 20:29 Dominique Hasselmann said

    Approximer, s’approcher, se rapprocher, pêcher du regard, laisser libre le papillon et l’aigle sauf sous forme d’une trace de pixels dans le ciel… Aucun dégât des airs ici.

  • On 28 août 2008 at 8:01 ms said

    Précision sur ce cousin de l’aigle, qui ne chope que les serpents : 90 centimètres d’envergure et tous les soirs à 19 heures qu’on lève la tête et il est là. Vu une fois décoller proie dans le bec.

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