Poétique de la voirie (69)

2 Comments

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  On 7 juin 2024 at 7:50 PdB said

  (il y a des boites à livres qui fleurissent un peu pourtant)(mais de plus en plus de livres jetés à la rue, abandonnés comme les chiens en bord de route en effet) (j’ai trouvé le quarto monumental de Marcel un jour, je l’ai pris – dire que je ne l’ai jamais finie, cette recherche : mais il en est ainsi de toutes, je suppose)(le quarto est sous la direction de Tadié ne vous faites pas trop de bile non plus, Employée)(il y a les livres,mais il y a aussi les canapés, les bibliothèques, les gros blancs (pris par nos amis Bulgares) et tant de choses jetées que ça en donne la nausée – un tel gâchis – la municipalité intitule ça des “encombrants” – l’institution aime à euphémiser ce qui n’est qu’un avatar de cette consommation à outrance – notre société et sa pléthore de déchets… – sans même parler de ceux que nous procure l’énergie nucléaire)

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  On 7 juin 2024 at 10:21 L'employée aux écritures said

  Le Dictionnaire encyclopédique d’histoire de Michel Mourre, tout de même, vous vous rendez-compte ? Moi qui me suis attelée pendant 16 années de ma carrière à produire des “instruments de travail de référence indispensables à la communauté des historiens” disait-on quand il fallait défendre nos postes, comment voulez-vous que mon coeur ne saigne pas devant pareil abandon ?
  Quant à Marcel, insistez un peu, vous ne le regretterez pas.