L’arbre du jardin de l’école dont j’ignore l’espèce mais qui pousse le bout de ses branches jusqu’à hauteur de mon vélux dans le toit n’a toujours pas ses feuilles : je trouve qu’il traînaille, les autres ne l’ont pas attendu, je commence à m’inquiéter et je me demande à quoi il ressemblera. Je n’étais pas là il y a un an, alors je n’ai pas de repères. Pas comme pour les coquelicots qui ne devraient pas tarder à escorter mon train de banlieue jusqu’au pont au dessus de la rue de la Procession, juste avant l’entrée en gare de Paris-Montparnasse : noté quelque part qu’en 2007 ils sont apparus, à peine déchiffonnés, le 25 avril.
Le problème de l’insertion de photographies dans cette ébauche de blog n’est toujours pas résolu. Mais après tout son intitulé laisse entendre que c’est plutôt un lieu fait pour écrire. Il n’y aura peut-être jamais d’images. En cas de besoin, j’essaierai de choisir mieux mes mots.